CLAP DE FIN POUR LES “DEALS EXCELS”

En cette fin d’année, il est peu dire que les pressions exercées sur les rendements immobiliers sont conséquentes partout dans le monde, résultat de la hausse surprise et brutale des taux d’intérêts et de l’aversion au risque des investisseurs. Après plusieurs cycles à établir de parfaites equity stories sur le papier, le temps des “deals excels” est révolu, comme les qualifient désormais avec un certain cynisme le marché. « Le monde redevient normal », synthétise Patrick Artus, conseiller économique de Natixis, invité à ouvrir le colloque de rentrée de l’IEIF. Les grandes puis- sances mondiales ré-affirment leurs compétitions, l’argent n’est plus dis- ponible en quantité illimitée, ni à des taux négatifs, tandis que l’asset management reprend sa place de premier plan chez les professionnels de l’immobilier.  « Ces dernières années ont été exceptionnellement actives, sauf que les acteurs s’y sont habitués et peinent à accepter la nouvelle réalité…

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